Inspirée par la grandeur intemporelle de Rome, Dolce & Gabbana dévoile une collection joaillière qui mêle faste baroque, références antiques et glamour italien. Chaque bijou devient une évocation poétique de la Ville Éternelle, entre architecture majestueuse et cinéma mythique. Dans cet hommage vibrant à l’histoire et à la beauté romaine, la maison transforme la pierre précieuse en récit éclatant, où passé et présent s’unissent dans l’art du sublime.
Rome, source intarissable d’inspiration
Il y a peu de villes au monde qui incarnent autant de récits, de symboles et de passions que Rome. Pour Dolce & Gabbana, elle représente un théâtre vivant où l’âme italienne prend racine. C’est dans la pierre des forums antiques, la courbe des colonnades et les couleurs chaudes du coucher de soleil sur le Tibre que la maison puise ses idées. La joaillerie devient alors un vecteur d’émotion, une manière de traduire la solennité des temples et la poésie des ruines en bijoux précieux.
Chaque pièce évoque une facette de la ville : une bague inspirée de la coupole du Panthéon, des boucles d’oreilles rappelant les fresques de la Villa Borghese, un collier qui imite les jeux d’eau de la Fontaine de Trevi. Rome est ici perçue comme une muse aux mille visages – antique et contemporaine, spirituelle et sensuelle. C’est cette dualité que les créateurs célèbrent, en façonnant des œuvres qui transcendent la simple parure pour devenir des objets de mémoire et de rêverie.
Le sacré et le profane en équilibre précieux
L’une des forces de Dolce & Gabbana réside dans sa capacité à intégrer la spiritualité sans austérité. Le sacré, omniprésent dans l’histoire romaine, se manifeste dans cette collection à travers des croix stylisées, des symboles byzantins et des références à l’art religieux, traités avec une sensualité presque théâtrale. Le bijou devient ainsi un talisman, à la fois objet de foi et d’admiration esthétique.
En contrepoint, la collection explore également le profane avec une sensualité assumée. Les lignes voluptueuses des pièces rappellent les courbes des statues antiques et les robes drapées des impératrices romaines. L’or est travaillé avec une opulence qui évoque les fastes impériaux, tandis que les pierres précieuses – rubis, émeraudes, saphirs – s’embrasent comme les fresques d’un palais. C’est dans cet équilibre entre élévation spirituelle et désir charnel que la joaillerie Dolce & Gabbana trouve sa profondeur.
Cinéma et dolce vita : le glamour romain en héritage
Impossible de penser à Rome sans évoquer le cinéma. La collection rend hommage à cette aura cinématographique à travers des créations qui semblent tout droit sorties d’un plateau de Cinecittà. Les références à l’âge d’or du cinéma italien – Fellini, Visconti, la splendeur d’Anita Ekberg ou la prestance de Sophia Loren – infusent les bijoux d’un esprit glamour, dramatique et intensément vivant.
Les colliers aux volumes spectaculaires rappellent les parures des stars en robes du soir, tandis que les broches délicates évoquent les accessoires vintage portés lors de la dolce vita. Chaque création est pensée comme un fragment de pellicule, capturant l’élégance intemporelle d’une actrice descendant les marches d’un palais romain, ou la lumière d’un projecteur effleurant une peau dorée. Cette joaillerie raconte une Rome rêvée, à la fois réelle et fantasmée.
La main de l’artisan, l’éclat du mythe
Derrière chaque bijou Dolce & Gabbana se cache un savoir-faire d’exception. Les artisans joailliers, véritables orfèvres de l’émotion, sculptent l’or et sertissent les pierres avec une précision qui relève de l’art sacré. Les techniques ancestrales rencontrent des visions modernes pour créer des œuvres uniques, chargées de symboles et de récits. Ici, la technique ne sert pas la démonstration, mais la narration : chaque détail a un sens, chaque forme une histoire.
La collection romaine incarne ainsi une fusion entre la main de l’artisan et l’âme du mythe. Le résultat n’est pas seulement luxueux : il est vivant. À travers ces bijoux, Dolce & Gabbana redonne à la haute joaillerie une dimension narrative et émotionnelle forte, où chaque pièce devient une miniature de Rome elle-même — sublime, complexe, et éternelle.
