Depuis trois décennies, un produit culte de pharmacie règne en maître dans les routines de soin : Créaline H2O de Bioderma. Cette eau micellaire, qui fête aujourd’hui ses 30 ans, n’a rien perdu de son pouvoir d’attraction. Véritable pionnière à son lancement en 1995, elle s’est imposée comme une référence mondiale du démaquillage, appréciée autant par les particuliers que les maquilleurs professionnels. Pour célébrer cet anniversaire symbolique, la marque s’est associée à Victoria Beckham, fan de longue date, qui signe un flacon en édition limitée. Retour sur l’histoire d’un soin qui a révolutionné la cosmétique du quotidien.
Une innovation de pharmacie devenue icône
À sa création, Créaline H2O a bouleversé le marché des soins nettoyants en introduisant une nouvelle technologie : les micelles. À une époque dominée par les laits et les lotions, Bioderma lance un produit à la composition minimaliste — dix ingrédients seulement — capable de nettoyer efficacement tout en respectant l’équilibre cutané. Jean-Noël Thorel, biologiste et fondateur du groupe NAOS, en est le cerveau. Aujourd’hui encore, cette formule est produite dans une usine dédiée à Aix-en-Provence, où 200 000 flacons sont fabriqués quotidiennement pour répondre à une demande planétaire.
Ce succès ne tient pas seulement à la nouveauté de l’époque, mais à la qualité d’un produit pensé pour convenir à toutes les peaux, mêmes les plus sensibles. Les micelles, en affinité parfaite avec l’épiderme, capturent les impuretés sans l’agresser. Résultat : un geste à la fois doux et performant, qui a séduit les Françaises avant de conquérir le monde entier.
Un rituel universel et multifonction
Le succès de Créaline H2O repose aussi sur sa versatilité. Loin de se limiter au simple démaquillage, elle agit comme une véritable alliée anti-pollution, capable d’éliminer particules fines et pollens accumulés sur la peau. Sa technologie brevetée DAF™, qui augmente le seuil de tolérance cutané, permet une utilisation quotidienne sans irritation, et même un renforcement progressif de la barrière cutanée.
Utilisée par les maquilleurs en coulisses de défilés comme par les consommatrices pressées du quotidien, l’eau micellaire de Bioderma fait figure de produit universel. Sa douceur est telle qu’elle peut être utilisée pour les yeux, y compris les plus sensibles, sans provoquer de picotements ni abîmer les cils. Un soin tout-en-un, à la fois simple, efficace et agréable, qui a su s’imposer dans toutes les salles de bain.
Une success story à la française
S’il existe aujourd’hui des dizaines d’eaux micellaires sur le marché, aucune n’a su détrôner la Créaline H2O. Elle reste le produit le plus vendu de sa catégorie, avec une bouteille écoulée chaque seconde dans le monde. Un chiffre vertigineux, témoin de la fidélité des utilisateurs et de la constance d’un produit qui n’a jamais eu besoin de se réinventer pour séduire.
La Créaline H2O s’inscrit dans une tradition de la cosmétique française fondée sur la pharmacopée, la science et la rigueur. Son image est restée inchangée : un flacon simple, reconnaissable à son bouchon rose, et un nom synonyme de confiance. Cette longévité exceptionnelle illustre combien une innovation bien pensée, portée par une éthique de soin, peut traverser les époques sans prendre une ride.
Une édition anniversaire à ne pas manquer
Pour marquer ces trente ans de succès, Bioderma a fait appel à Victoria Beckham, icône de style et utilisatrice de longue date de Créaline H2O. Le résultat : une édition limitée du flacon emblématique, revisitée avec élégance et sobriété. Un geste à la fois esthétique et symbolique, qui s’adresse à toutes celles et ceux ayant intégré cette eau micellaire à leur routine beauté depuis des années.
Ce lancement s’inscrit dans une dynamique de célébration, mais aussi de transmission. Car si la Créaline H2O continue de séduire les anciennes générations, elle gagne aussi en popularité chez les plus jeunes, séduits par sa simplicité et son efficacité. En s’offrant un relooking signé par une figure mode internationale, Bioderma confirme une fois encore que l’essentiel, quand il est bien fait, peut durer indéfiniment.
